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Kilométrage
33 000 km
Transmission
Boîte automatique
Année
06/2019
Carburant
Essence
Puissance kW (CH)
430 kW (585 CH)
Vendeur
Pro
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Rapport de qualité
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Demande d'inspectionDonnées de base
- Carrosserie
- SUV/4x4/Pick-Up
- État
- Occasion
- Transmission
- 4x4
- Sièges
- 5
- Portes
- 5
- Version pays
- France
Historique du véhicule
- Kilométrage
- 33 000 km
- Année
- 06/2019
- Dernier contrôle technique
- 04/2023
- Propriétaires préc.
- 2
- Carnet d'entretien
- Oui
Caractéristiques Techniques
- Puissance kW (CH)
- 430 kW (585 CH)
- Transmission
- Boîte automatique
- Vitesses
- 7
- Cylindres
- 8
Consommation en énergie
- Carburant
- Essence
Equipement
- Confort
- Sellerie cuir
Couleur et Garnissage Intérieur
- Couleur extérieure
- Argent
- Couleur originale
- Designo Platino Magno
- La couleur de l'intérieur
- Noir
- Garniture
- Cuir
Description
Les concepteurs du nouveau Classe G présenté en 2019 en font le serment. À l'exception des poignées de porte, de la roue de secours extérieure et des gicleurs de lave-phare, aucun élément de carrosserie de la mouture précédente n'a été conservé. On a pourtant peine à y croire en regardant cette deuxième mouture d'un modèle dont les débuts commerciaux remontent à 1979... Mais le G existait bien avant. Au même titre que le Hummer, ce Mercedes a d'abord été créé pour servir sous les drapeaux iraniens.
En effet, c'est Muhammad Riza Chah, dernier shah d'Iran, qui en a eu l'idée. Celui-ci a confié à Mercedes-Benz le soin d'exécuter son cahier des charges qui s'est matérialisé en 1972. C'est donc pour le service militaire d'abord que ce véhicule a été conçu. Curieusement, sa carrière civile a débuté l'année même où le shah d'Iran a été forcé à l'exil.
Le Gelandewagen était jusqu'ici le plus âgé (et assurément le plus rustre) des produits de la gamme Mercedes-Benz. Et le constructeur était loin de s'en offusquer, loin de là. Vendu à prix d'or, ce véhicule vigoureux comme un rhinocéros, agile comme une gazelle et robuste comme un bélier de montagne manquait cruellement de civilité sur les voies publiques. Direction trop démultipliée, suspension bondissante, tenue de cap aléatoire, le G appartenait à une époque sympathique, sans doute, mais révolue. En outre, il fallait aussi composer avec un habitacle aux dimensions étriquées et un tableau de bord dessiné à l'époque où l'ergonomie était une science plutôt simpliste.
Comme la Porsche 911 ou encore le Jeep Wrangler, le Gelandewagen se trouve prisonnier de son image de «dur à cuire». Si toutes les tôles ont été retouchées, le G demeure aussi aérodynamique qu'une brique... Assurément, le G fait un pied de nez à la bataille du meilleur Cx (coefficient de traînée aérodynamique) qui reprend en douce dans l'industrie. Qu'à cela ne tienne, certaines arêtes vives ont été adoucies pour éviter que le vent ne siffle à tue-tête sur les parois et excroissances de la carrosserie.
On le reconnaîtrait entre mille, mais garez-le côte à côte avec le modèle antérieur, on voit immédiatement ce qui a changé. Le nouveau est plus long, plus large. L'empattement également a été accru au bénéfice des occupants à l'arrière et du confort en général. À l'avant, le dégagement est correct, mais les puits de roue forcent toujours leur passage dans l'habitacle. Conséquence: un dégagement plutôt limité pour les pieds et un pédalier légèrement décalé pour le conducteur.
Mais sans doute la caractéristique la plus surprenante et sciemment rapportée de la génération précédente est le bruit très métallique des portières. Cela surprend toujours l'oreille pour un véhicule de ce prix. Mais le modernisme du bloc d'instrumentation qui s'étale sur un tableau de bord toujours aussi peu profond a tôt fait de nous ramener au XXIe siècle.
Le châssis en échelle subsiste, mais arrime désormais une suspension indépendante à l'avant au lieu d'un pont rigide. Ce dernier demeure toutefois en poste à l'arrière. Sous le capot, on retrouve le 4 L V8 biturbo dont la puissance varie (416 ou 577 ch) selon la déclinaison retenue. À ce sujet, soulignons que plus de 50% des acheteurs de ce modèle optent pour la déclinaison AMG. Ce V8 costaud offre comme pas un des performances saisissantes, surtout dans sa version de 577 ch. Jamais à bout de souffle, ce moteur se trouve ici bien secondé par une boîte automatique à neuf rapports. Hélas, si brillant soit-il, ce groupe propulseur consomme beaucoup (trop) et son exploitation est pour le moins limitée sur un véhicule aussi lourd et si haut perché.Ce G63 AMG a été livré neuf à Monaco au premier propriétaire auprès de qui nous en avons fait l'acquisition en 2022 pour l'actuel propriétaire. Il est désormais immatriculé en France, ecotaxe payée.
Entretenu uniquement dans le réseau il est en parfait état de fonctionnement. En carrosserie rien à signaler juste les jantes légèrement frottées, elles seront refaites pour la vente.
Liste des options :
Crédits photos Nino Hammet pour Eleven Cars
En effet, c'est Muhammad Riza Chah, dernier shah d'Iran, qui en a eu l'idée. Celui-ci a confié à Mercedes-Benz le soin d'exécuter son cahier des charges qui s'est matérialisé en 1972. C'est donc pour le service militaire d'abord que ce véhicule a été conçu. Curieusement, sa carrière civile a débuté l'année même où le shah d'Iran a été forcé à l'exil.
Le Gelandewagen était jusqu'ici le plus âgé (et assurément le plus rustre) des produits de la gamme Mercedes-Benz. Et le constructeur était loin de s'en offusquer, loin de là. Vendu à prix d'or, ce véhicule vigoureux comme un rhinocéros, agile comme une gazelle et robuste comme un bélier de montagne manquait cruellement de civilité sur les voies publiques. Direction trop démultipliée, suspension bondissante, tenue de cap aléatoire, le G appartenait à une époque sympathique, sans doute, mais révolue. En outre, il fallait aussi composer avec un habitacle aux dimensions étriquées et un tableau de bord dessiné à l'époque où l'ergonomie était une science plutôt simpliste.
Comme la Porsche 911 ou encore le Jeep Wrangler, le Gelandewagen se trouve prisonnier de son image de «dur à cuire». Si toutes les tôles ont été retouchées, le G demeure aussi aérodynamique qu'une brique... Assurément, le G fait un pied de nez à la bataille du meilleur Cx (coefficient de traînée aérodynamique) qui reprend en douce dans l'industrie. Qu'à cela ne tienne, certaines arêtes vives ont été adoucies pour éviter que le vent ne siffle à tue-tête sur les parois et excroissances de la carrosserie.
On le reconnaîtrait entre mille, mais garez-le côte à côte avec le modèle antérieur, on voit immédiatement ce qui a changé. Le nouveau est plus long, plus large. L'empattement également a été accru au bénéfice des occupants à l'arrière et du confort en général. À l'avant, le dégagement est correct, mais les puits de roue forcent toujours leur passage dans l'habitacle. Conséquence: un dégagement plutôt limité pour les pieds et un pédalier légèrement décalé pour le conducteur.
Mais sans doute la caractéristique la plus surprenante et sciemment rapportée de la génération précédente est le bruit très métallique des portières. Cela surprend toujours l'oreille pour un véhicule de ce prix. Mais le modernisme du bloc d'instrumentation qui s'étale sur un tableau de bord toujours aussi peu profond a tôt fait de nous ramener au XXIe siècle.
Le châssis en échelle subsiste, mais arrime désormais une suspension indépendante à l'avant au lieu d'un pont rigide. Ce dernier demeure toutefois en poste à l'arrière. Sous le capot, on retrouve le 4 L V8 biturbo dont la puissance varie (416 ou 577 ch) selon la déclinaison retenue. À ce sujet, soulignons que plus de 50% des acheteurs de ce modèle optent pour la déclinaison AMG. Ce V8 costaud offre comme pas un des performances saisissantes, surtout dans sa version de 577 ch. Jamais à bout de souffle, ce moteur se trouve ici bien secondé par une boîte automatique à neuf rapports. Hélas, si brillant soit-il, ce groupe propulseur consomme beaucoup (trop) et son exploitation est pour le moins limitée sur un véhicule aussi lourd et si haut perché.Ce G63 AMG a été livré neuf à Monaco au premier propriétaire auprès de qui nous en avons fait l'acquisition en 2022 pour l'actuel propriétaire. Il est désormais immatriculé en France, ecotaxe payée.
Entretenu uniquement dans le réseau il est en parfait état de fonctionnement. En carrosserie rien à signaler juste les jantes légèrement frottées, elles seront refaites pour la vente.
Liste des options :
- Peinture Designo magno
- Pack exclusif intérieur plus (sieges av en cuir nappa designo, tableau de bord en cuir nappa, ciel de pavillon designo),
- Inserts décoratifs AMG en carbone
- Jantes forgées 22 AMG
- Volant performance AMG carbone / microfibre dinamica
- Autoradio numérique
- Airbags latéraux AR
- Vitrages AR fumés.
Crédits photos Nino Hammet pour Eleven Cars
Evaluation de prix
Actuellement, aucune information de prix n'existe pour ce véhicule.
Leasing
detailpage.leasing.title ELEVEN CARS
detailpage.leasing.oneTimeCosts
- detailpage.leasing.configurator.downPayment
- € 0,-
- shared.listItem.leasing.transferCost
- Keine Angabe
- shared.listItem.leasing.registrationCost
- Keine Angabe
- detailpage.leasing.total
- € 0,-
detailpage.leasing.generalData
- detailpage.leasing.contractType
- Kilometerleasing
- detailpage.leasing.mileage p.a.
- 10.000 km
detailpage.leasing.monthlyCosts
- detailpage.leasing.duration
- 48 Monate
- detailpage.leasing.monthlyInstallment
- € 183,-
detailpage.leasing.additionalInformation
- detailpage.leasing.finalInstallment
- € 19.854,23
detailpage.leasing.tip.headline
detailpage.leasing.loanBrokerage Volkswagen Leasing GmbH / Gifhorner Str. 57 / 38112 Braunschweig
Die Angaben entsprechen zugleich dem 2/3 Beispiel nach § 6a Abs. 3 PAngV.
Vendeur
ProELEVEN CARS
listpage.listItem.rating.accessibility
ContactGonzague Ruchaud
- TVA déductible
- Prix du concessionnaire
- Ces informations sont fournies par le vendeur du certificat.