Alfa Romeo Brera

Rien que le design de la carrosserie de l'Alfa Brera rappelle déjà cette dernière et on peut également établir un parallèle avec une Porsche de la série 9. Les différences se situent surtout à l'arrière, lequel est beaucoup plus imposant et vertical chez l'Alfa Brera que chez les deux autres modèles mentionnés, ce qui laisse en contrepartie plus de place pour l'espace de rangement. Même l'habitacle de ce coupé, large de 1,83 m, offre, du moins au niveau des sièges avant, suffisamment de place et dispose d'un équipement élégant caractéristique d'Alfa Romeo.

Comme il se doit pour une voiture de sport, l'Alfa Brera offre un plaisir de conduite parfait. En motorisation essence, la voiture est disponible dans une variante 2,2 litres (Alfa Brera 2,2 JTS) et une variante 3,2 litres (3,2 JTS). La dernière variante possède 260 CV qui permettent une accélération de 0 à 100 km / h en 6,8 secondes, la vitesse maximale étant de 240 km / h. La consommation reste relativement basse pour une voiture de sport, en moyenne 10 litres au 100 km. Et la version turbo diesel à 5 cylindres (2,4 JTDM), qui offre tout de même 200 CV, est sensiblement comparable. Il faut bien sûr mentionner que même la plus récente des voitures de sport italienne affiche encore quelques petits défauts caractéristiques (qui sont souvent perçus comme de petites distractions par les vrai fans d'Alfa Romeo) : comme dans presque toutes les Alfa Romeo, certaines pièces du revêtement intérieur claquent dans les virages ou quand il fait froid ; certains composants électroniques tels que les voyants de contrôle etc. se détraquent parfois. En revanche, les pièces du moteur, de la traction et la carrosserie ne posent pratiquement aucun problème de réparation ou de maintenance.