Disons-le, la transformation esthétique est aussi peu radicale que dans le cas de la Clio, et cela semble indiquer que Renault adopte une politique "à l'allemande" en matière de design : le changement dans la continuité. Cela-dit, le changement est perceptible, car le visage de la Zoé est plus dynamique, plus mature, voire plus statutaire que celui de la génération sortante.
Tendance écologie
L'habitacle, lui, est clairement transformé. La Zoé reçoit un nouveau combiné d'instruments digital, un nouvel aménagement de la console centrale et une nouvelle planche de bord, habillée de tissus 100% recyclés, une pratique en plein essor – et très élégante – dans le monde automobile.
380 km
Mais le plus important dans le cas d'une voiture électrique est évidemment son autonomie. Celle de la Zoé fait un nouveau bond en avant, grâce à un pack de batterie dont la capacité atteint maintenant 52 kWh, sans augmentation de volume, donc sans la moindre perte d'habitabilité. Ces batteries alimentent le moteur de 110 ch déjà connu ou un nouveau moteur de 135 ch, et autorisent une autonomie de 380 km selon les normes WLTP. Nouveautés aussi côté recharge, puisque la Zoé accepte à peu près toutes les branchements jusqu'à 50 kW, lui garantissant ainsi une recharge rapide, et une plus grande polyvalence à l'usage.
Enfin, la nouvelle Zoé allonge sa liste d'aides à la conduite, avec l'aide active au maintien de voie, les feux de routes automatiques, le freinage automatique d'urgence, la surveillance d'angle mort, la reconnaissance des panneaux routiers, etc.
La nouvelle Renault Zoé sera lancée en novembre prochain, les tarifs ne sont pas encore connus.