Après le Crossland X, qui connait un début de carrière assez prometteur, voici le troisième SUV d'Opel, deuxième né du partenariat avec PSA. Sur un marché très disputé, il devra affronter son cousin le Peugeot 3008, et d'autres cadors, comme le Nissan Qashqai, le Renault Kadjar, le VW Tiguan, le Hyundai Tucson, etc.
Racé
Pour le moment, Opel ne dévoile que ces images, gardant les informations plus détaillées (outre celles déjà communiquées en avril) pour plus tard. Et ce que l'on voit, c'est que le style actuel de la marque se marie plutôt bien avec les proportions d'un SUV de ce gabarit. Les lignes sont athlétiques, valorisantes et il y a juste ce qu'il faut de détails pour le rendre intéressant, sans aller jusqu'à l'indigeste. On pense au montant arrière "inachevé", aux moulures centrales du capot, ou encore au profil arrière agréablement travaillé.
A en juger par les images, difficile de confirmer l'affirmation d'Opel selon laquelle "le style retient tellement l’attention qu’il permet à ce SUV de se démarquer fortement de la concurrence". Mais le fait est qu'on a là un beau véhicule, et peut-être est-il plus captivant quand on le voit en live, comme cela arrive avec certaines voitures moins photogéniques que celle-ci.
Les inconnues
Voilà pour ce que l'on sait. Ce qu'on ignore, c'est tout ce qui concerne le plan technique. Quoique l'expérience Crossland X nous fait dire que son grand frère reprendra lui aussi uniquement des mécaniques PSA, donc vraisemblablement 1.2 Turbo essence, 1.6 Turbo essence et 1.6 turbodiesel. Ce qu'on ignore complètement en revanche, c'est la personnalité que les ingénieurs donneront au châssis. Dynamique comme un Peugeot 3008? Confortable comme le futur Citroën C5 Aircross? Réponse en septembre.