Esthétiquement, les changements ne sont guère marquants. Le nez a été retouché et adopte désormais la calandre "Diamond" déjà présente sur à peu près toute la gamme, et les phares sont revus pour coller un peu plus au look de la Classe C. Phares qui seront Full LED et intelligents en série, dotés des feux de route anti-éblouissement en option.
Ce qu'on ne voit pas, ce sont les multiples capteurs et caméras supplémentaires qui équipent la voiture et lui permettront d'augmenter le nombre d'aides à la conduite, avec par exemple un freinage automatique d'urgence en série. La partie toit est évidemment inchangée, le petit volet que l'on devait déployer manuellement dans le coffre (335 litres) avant de décapoter devient par contre automatique. On ne doit donc plus rien faire à la main – si ce n'est pousser le bouton – pour rouler à l'air libre.
AMG
Sous le capot, il y a du nouveau. L'entrée de gamme sera assurée par l'essence 1.6 turbo 156 ch de la SLC 180. Les SLC 200 et 300 reçoivent un 2.0 de respectivement 184 et 245 ch, et Mercedes maintient une offre diesel avec la SLC 250d, équipée du 2.2 litres de 204 ch, annoncé à 4,4 l/100 km et 114 gCO2/km. En série, les SLC 180 et 200 reçoivent une boîte manuelle 6 rapports, la boîte auto 9 est disponible en option et est en série sur les autres versions.
Enfin, AMG a mis son grain de sel. La SLK 55 AMG et son monstrueux V8 5.5 sont cependant remplacé par la Mercedes-AMG SLC 43 et un plus modeste (et inconnu sous la bannière AMG jusque-là) V6 3.0 biturbo, qui lâche 367 ch et 520 Nm. De quoi tuer le 0-100 en 4,7 secondes et pointer à 250 km/h (limite électronique).
La Mercedes SLC sera lancée au printemps prochain – quelle bon timing! – mais les tarifs sont encore inconnus.