Dans un premier temps, les puissances des ces nouveaux moteurs seront de 181, 245 et 306 ch. Plus tard suivront les plus raisonnables 120 ch. Les moteurs diesel et essence partageront la même architecture de base, avec une cylindrée de 2.0 litres. Ces moteurs devront remplacer l'actuel 2.0 litres 5 cylindres et c'est un peu dommage, puisque ce dernier est en ce moment le moteur présentant le plus de caractère de toute sa catégorie.
Le diesel se distingue par un common rail disposant d'un capteur de pression par cylindre, au lieu d'un capteur central. Cela permettra d'affiner considérablement la quantité de carburant envoyée individuellement dans chaque chambre. Par ailleurs, la pression d'injection maximale grimpe à 2.500 bar au lieu de 2.000. Le résultat est une injection plus fine encore, et donc une combustion plus uniforme et moins d'émissions polluantes. La version 181 ch sera baptisée D4. Plus tard nous le disions, arriveront les versions 230 et 120 ch.
Turbo et compresseur
Les moteurs essence cumuleront évidemment eux aussi injection directe et turbo. La version haut de gamme – le T6 – recevra en plus un compresseur à entrainement mécanique qui devra palier à l'absence du turbo à bas régime. La puissance du T6 sera de 306 ch et cette variante, comme celle de 245 ch, sera disponible dès l'automne. Pour le moteur essence 140 ch, il faudra attendre encore un peu.
En plus de ces nouveaux moteurs, le constructeur proposera aussi de nouvelles transmissions. Une nouvelle boîte manuelle 6 et une nouvelle boîte auto 8 entreront au catalogue. Quant aux tarifs, ils sont encore secrets. (mh/sp-x)
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