Le premier prototype GLK « Freeside » est entraîné par un moteur diesel Bluetec de 2,2 litres, qui devrait du simple fait de son retraitement novateur des gaz d’échappement rejeter sensiblement moins d’oxydes d’azote qu’un moteur à allumage spontané traditionnel. Dans le nouveau modèle d’étude, le même groupe propulseur constitue le fondement d’un entraînement hybride, dans lequel un moteur électrique de 20 CV est adjoint au quatre cylindres.
Aide électrique
A travers cet hybride Bluetec, Mercedes mise sur l’entraînement hybride « doux ». En d’autres termes, le moteur électrique ne peut propulser à lui seul le véhicule, comme c’est le cas notamment pour la Toyota Prius, mais il apporte une aide au moteur à combustion. Au cumul, on obtient ainsi une puissance totale de 224 CV et un couple maximal de 560 Newton-mètre, qui peut être exploité dès un bas régime de 1.600 tours sur l’arbre-moteur. Le GLK atteint en outre les 100 km/h en 7,3 secondes.
Aussi bien le diesel que la technique hybride sont réputés pour leur sobriété et, en combinaison, la consommation diminue encore davantage. Avec une consommation moyenne prévue de 5,9 litres de diesel et une émission de CO2 en résultant de 157 grammes au kilomètre, le concept-car satisfait d’ores et déjà aux exigences les plus rigoureuses dans le monde en matière de pollution, telles que le standard américain LEV 2 ou la future norme Euro 6. (mg)