S'il est une voiture que le monde attend toujours avec une grande impatience, c'est une nouvelle génération de Golf. Nous avions pu nous asseoir à bord alors qu'elle était toujours cachée sous ses draps, mais cette fois le voile est levé.
3,2 litres
Et parmi les premières informations données, il y a la promesse d'une version BlueMotion ne consommant qu'un tout petit 3,2 l/100 km (chiffres homologués bien sûr), pour des émissions de CO2 de 85 g/km. Autant dire que la Golf est loin d'avoir fini sa carrière sur le marché du Fleet. Par ailleurs, quand on pense qu'une consommation de 3 litres était un exploit réalisé il y a 13 ans par la Lupo 3L, on mesure le chemin parcouru.
Même sans les technologies BlueMotion, la promesse n'est pas moins impressionnante: 3,8 litres pour le TDI de base (105), 4,9 l/100 km pour la TSI de base 85 ch) et même 4,8 l pour le 1.4 TSI 140 ch à désactivation de cylindres.
La nouvelle Golf fera le plein de technologies jusqu'à lors inédites dans les générations précédentes: surveillance de changement de bande, cruise control à radar, détection de fatigue, système pre-crash, freinage d'urgence en ville, Park Assist 2 garant seul la voiture et mieux, pouvant l'aider à sortir de sa place.
Plus spacieuse
Avec ses 4.255 mm de longueur et un empattement de 2.637 mm, la Golf accroît ces mesures respectives de 5,5 et 6 cm. Cela profite évidemment généreusement aux occupants et au coffre qui gagne 30 litres, soit à présent 380 litres. Faut-il rappeler que malgré cela, la Golf perd en moyenne 100 kg par rapport à sa devancière?
Golf un jour, Golf toujours
Enfin esthétiquement, que dire? C'est vrai, elle ne semble guère changer, cette Golf. Mais bien sûr, on ne s'attend pas à ce que VW révolutionne le look de son enfant chéri. Une Golf doit être identifiable au premier coup d'oeil, c'est le cas. Et après tout, ce n'est pas la bouteille qui fait la différence entre un bordeaux d'une grande année, et celui d'une très grande année. C'est son contenu. Nous attendrons donc les premiers essais...